Description
Je suis parti sur les routes du Brésil pour visiter une dizaine de distilleries. En Brésilien, Engenho da Vertente ça veut dire « l’ingénieur ou l’engin de la vallée». L’engin en question c’est tout l’outil de production, le broyeur de cannes, les cuves à fermentation, l’alambic chauffé au feu de bois, et même le bon génie du lieu, Renato, un Brésilien de 60 ans qui a créé lui-même sa micro-distillerie et qui dort six mois de l’année près de son alambic.
Les cannes sont récoltées autour de sa distillerie, il coupe lui-même les têtes et les queues de la distillation et il décide de la durée de son petit vieillissement en fût de grapia, de jatobà, ou de jequitiba.
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